LES FEMMES DE NOS CHANSONS
De nos chansons,
Et tiennent de Mélusine,
Avec leurs tailles fines
Ou d’une Viviane
Qu’aurait des mains de liane
Des Barbara
Qu’on tiendrait par le bras
Direction Brocéliande
Ou un sommet des Andes.
Qui fait trembler
La bulle de savon
Avant de s’envoler
Et d’emporter
Avec elles
En parcelles
Leurs couleurs irisées
Comme de l’avancée
D’un cap
Comme des oeillades
Du phare
Des derniers départs
De palpitants
Scintillements.
Des embarquements
Quand le coeur décroche
Au son d’une cloche
D’un triste quai
Embrumé
Toutes nos Mélusine
Nos soi-disant cousines
Nos presque bonnes fortunes
Et leurs regards de lune,
Toutes celles
De nos rimes éternelles
Avant que la nuit ne les noie
Dans la douceur
Du soir
Les frissons rieurs
De leurs touchants mouchoirs
De nos chansons,
Et tiennent de Mélusine,
Avec leurs tailles fines
Ou d’une Viviane
Qu’aurait des mains de liane
Des Barbara
Qu’on tiendrait par le bras
Ces amies de nos rêves
Et des ombres qui s'élèvent
Paris
5 commentaires:
Coucou! Je retrouve le plaisir de prendre le temps, de blog en blog, à bientôt.
Salut, Alice, content de te revoir!
Elles sont tout ça ? tu crois ? ;-)
C'est bien joliment dit en tout cas
Je me demande parfois si elles sont vraiment tout ça comme tu dis.
Mais ça coûte rien de rêver, non? ;-))
Bisous, Véro.
Non ça ne coûte rien, bien sûr... ;-)
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