Oh, fan de chichourle! Oh ! Peuchère! Oh, qu’il est triste cet homme!
Vous y mettez tout l’accent du midi que vous voulez, vous savez bien, celui de Pagnol dans la partie de carte. Cet assent qui traîne et qui n’en finit pas, c’est juste pour vous mettre dans l’ambiance
Et c’est bien vrai que je n’ai pas été spécialement guilleret ces temps derniers que je vous devais bien quelques lignes un peu plus primesautières
J’ai cherché dans mon coffre à élucubrations diverses, variées et pas toujours d’un grand intérêt et j’ai déniché ça qui traînait là un peu perdu au milieu de tous ces flots plus ou moins lacrymaux
L’amour est voyage j’avais appelé ces quelques lignes et c’est probablement le seul voyage qui mérite de faire ses valises…
Il est pèlerinage
Il est cette incursion
Dans des prairies sans nom
Il est ce ludion
De quatorze juillet
Ce lumignon
Des fêtes de l’été
Il est copeau d’étincelle
Il est lumière en parcelle
Quand le cœur balance
Hésite et se lance
Quand mon regard
S’accroche au tien
L’amour est ce phare
Cette clarté et ce lien
Quand ta main
Prend ma main
Quand lentement
Les battements
Lointains
Mais si pleins
De ton cœur
Enfin
A l’heure
Du mien
S’accordent
Et que dans ma tête
Au bout de leurs cordes
Les cloches de la fête
Résonnent
Et carillonnent
2 commentaires:
... et quel joli voyage...
Pas le seul, mais le plus beau c'est certain...
Un doux bisou
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