18.7.07

Le moucharabieh




Des pas clairs qui se hâtent sur un carrelage mosaïque blanc et noir
Des pas pressés qui résonnent dans la pénombre fraîche
C’est une fille qui vient à la rencontre de son amant
Dans le figuier qui porte ses fruits murs
Doucement chante la tourterelle grise
Et les pas se pressent dans le corridor, demeure de l’ombre mystérieuse
Bien plus loin, insistant, un muezzin appelle à la prière
Et deux cœurs accordent leurs rythmes à la course entreprise

Claude

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