Dans le fouillis fleuri qui s'étend devant le banc de pierre fait de vieux linteaux récupérés lors de la reconstruction de mon mur de jardin, je vois avec tristesse que les abeilles ne sont pas au rendez-vous cette année ou alors en tout petit nombre et pourtant les coroles sont maintenant bien ouvertes et répandent vers ciel des senteurs supposées alléchantes
Et l'on me dit que les grenouilles, salamandres et autres crapauds sont en train d'être rayés de la surface de notre terre nourricière
Et pendant ce temps là, à pleins écrans et pleins micros, nos femmes et hommes politiques bourdonnent et coassent à qui mieux mieux.
Bordel de merde, le monde est bien mal foutu...
PS: La vue jointe est celle du bout de mon banc et de la jungle qui l'entoure
4 commentaires:
Encore une fois, tristesse des massacres de l'Homme à la surface de la Terre. Vivement qu'il disparaisse...
Elle est bien jolie la vue du bout de ton banc ;)
Des bisous
Et il est pas prêt de bouger de là où il est, mon banc...
De gros bisous
Claude
Mais il parait que le jour où il n'y aura plus d'abeilles, l'homme n'en aura plus pour longtemps. Et c'est vrai qu'elles se font déjà bien rares et que les ruches se dépeuplent.
Des nouvelles tristes, et depuis un peu plus d'une heure c'est mon anniversaire. 45 ans, avec une cuillerée de chance j'en suis à la moitié.
Des bises au champagne, mais inquiètes...
Du champagne avec du miel pour ton anniversaire, Ambre
Je t'embrasse
Claude
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