J'en ai marre de ces conneries, de ces souvenirs de jeunesse. Il est bien temps de solder les comptes.
Celui là est le dernier qui trainait encore dans mes tiroirs.
Pour qui, pourquoi j'ai écrit ces lignes? Je ne m'en souviens pas très bien. Une mignonne avec qui j'ai du m'embrouiller à cette lointaine époque comme on dit dans notre si élégant langage moderne.
Mais quelle importance et puis ça m'évite de me cramer les neurones à trouver des trucs inédits.
Voici donc la bête...
Le cri perçant
De ses yeux crisse
Sur ma voix
Qui s’enlise
Et se perd,
Lune délaissée
Ma déchirure, ma force,
Au sentier des amours à naître
Va, perds toi dans
Les grands remous miasmeux
Les profondeurs simiesques
Des politiques féminines
Vagins béants
De nos doutes vides
Avalanche de sperme vague
Larmes d’orgueil
Ci-gît ma mémoire,
Mon age,
La beauté
Et toutes mes ignorances,
La rancœur de mes certitudes
L’enfance morte
De mes espoirs rétractés.
Claude
Monde de couleurs et d'images, monde sans cesse le même mais toujours recommencé et que je vous convie à parcourir en ma compagnie avec le vent pour compagnon à nos semelles
10.10.06
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1 commentaire:
Et si tu écrivais pour toi ? Passke savoir que d'autres liront ce que nos tripes ont écrit, c'est important... non ? En tout cas je suis contente d'avoir lu ça ;-)
Tu écris bien Claude, très bien. Tu as du mal à le croire mais c'est pourtant vrai.
Un gros bisou
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