25.2.11

Histoire de q




L'une de mes amies, a dear friend of mine diraient les anglo-saxons, m'a récemment déclaré que j'avais un beau cul. J'en suis resté sur l'instant interdit et mon la s'est soudain mis à gonfler comme l'aurait dit Brassens.

Un beau cul! Moi!

Je dois avouer que je ne m'étais jamais vraiment plongé dans la contemplation de cette partie replète de mon individu: Il est là où il doit être et ça m'a suffit jusqu'alors comme ça et puis se retrouver nez à nez avec cette rontondité tellement affriolante aux dires de ma belle amie reléve d'une posture acrobatique à laquelle ma souplesse naturelle légérement ébréchée par l'accumulation des ans m'empêche même d'y penser. Alors, je la crois sur parole ma douce!

Mais c'est à ces quelques mots murmurés tendrement à une oreille qui n'en croyait pas ses yeux que je voudrais revenir.

-T'as un beau cul!!

Gabin sussurait quelque chose comme ça à la délicieuse Morgan rappelez vous mais lui disait -T'as de beaux yeux, tu sais!!
C'est là qu'on mesure que les temps ont bien changé. AujOurd'hui une toute jolie me confie sans pudeur excessive que j'ai un beau cul.

Oui, les temps changent assurément et à grands coups de pied au cul.

13.2.11

Bornes et limites

j'ai récemment lu quelque part qu'écrire un blog était devenu ringard.
Putain! Les modes changent vite de nos jours.
Je suis sûr que du temps de Gutenberg, on aurait pris quelques décennies pour qu'on en épuise touS les charmes des dits blogs.
Mais là, juste un petit tour, on est passé à autre chose: Twitter, facebook et tutti quanti et exit le blog tombé en désamour

ça tombe bien en ce me concerne puisque j'ai cessé d'écrire sur ce support particulier. Panne totale d'inspiration! Plus rien à me mettre sous la plume. Pas le moindre désir de marier des mots, de jongler avec eux, de les voir s'unir, se marier avec comme seule limite ma rapidité de frappe et même si j'étais pratiquement mon seul lecteur, quelle importance?

J'y ai pris du plaisir en son temps je dois l'avouer comme je dois avouer que j'éprouve quelque nostalgie au souvenir de cette jubilation qui me saisissait à ces moments là mais écrire c'est comme une érection (je parle pour les hommes là bien sûr). On bande et la bandaison, papa! Tu sais où ça mène hein? l'excrétion de quelques centilitres d'un liquide composite riche de nutriments élémentaires paraît-il et la messe est dite. Y'a plus qu'à attendre que les petites boules à plaisir partagé veillent bien refaire le plein.

Mais de ce côté là, ça tombe bien je ne bande plus ou pas beaucoup, pas plus que je n'écris: La pace di calzone disent justement les mamas italiennes qui en connaissent un bout si j'ose dire sur la façon de nourrir leurs hommes avec ce symbole de vigueur que constitue le macaroni même préparé "al dente".

Au delà de cette limite disait Gary mon ticket n'est plus valable et comme chacun sait, c'est quand on dépasse les bornes qu'il n'y a plus de limites.

Ombres légères

      J'ai récemment évoqué ici deux silhouettes féminines qui ont, plus ou moins brièvement, croisé ma vie à divers ...