Le sable qui de tes mains s'écoule
Et dont la forme à tes frissons s'éboule
Est le linceul aride et l'austère humus
De ceux partis sans le moindre oremus
De ceux tombés dans des combats obscurs
Pour une cause perdue ou bien pour un parjure...
Claude
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4 commentaires:
Quelle jolie photo (et le texte aussi d'ailleurs).
Elle est de toi ?
ben oui! Et même que ça soufflait dur ce jour là...
Tu en as vu (et vécu) de belles choses :)
oui, Tippie et maintenant leurs souvenirs occupent mes longues soirées d'hiver et quelques pages de mon blog aussi ;-))
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